En tant que e-commerçant, votre objectif est de vendre vos produits. Or, vous aurez de nombreuses concurrences sur le marché. Pour se faire une place, vous devez rédiger un contenu pertinent pour faire savoir votre produit. En effet, une bonne fiche produit fera toujours la différence entre vous et vos concurrents.

Qu’est-ce qu’une fiche produit ?

Une fiche produit est un texte descriptif de vos articles publié sur un site de e-commerce. Elle est une page web qui reprend toutes les caractéristiques techniques, marketing et logistiques ainsi qu’administrative d’un article mise en vente sur un site de e- commerce. En effet, une fiche produit permet d’informer les internautes sur le prix et la référence et les caractéristiques d’un produit vendu sur un site. C’est-à-dire qu’avec une fiche produit l’internaute prend connaissance de vos produits, de ces caractéristiques, du prix, de la marque et tous les questions logistiques qui sont en rapport avec vos articles. Toutes les caractéristiques de vos produits y sont donc mises en avant. De plus, une fiche produit permet de valoriser vos produits. Publier des contenus pertinents permettra donc de l’améliorer et mieux les valoriser.

Comment doit être une fiche produit ?

Une fiche produit doit contenir l’information produit, notamment la taille, le prix, la marque, les articles disponibles, la couleur, le coût et délai de livraison doit être mentionné dans la fiche. Toutes les informations sur le produit doivent être présents afin que vos acheteurs puisse connaître votre produit ou article. Elle doit aussi être complète et unique pour que le visiteur s’y intéresse. Bien le soigner vous permettra de ce fait de toucher votre cible, vous susciterez une action d’achat à travers une fiche bien rédigée. En outre, vous serez plus référencé et plus visible dans les moteurs de recherche. Vous élargissez ainsi vos visiteurs et vous pourrez y trouver des clients ou acheteurs potentiels parmi eux. Vous pourrez aussi accompagner d’une vidéo ou d’une photo de votre article pour mieux l’optimiser. Consultez le site https://www.goaland.fr pour plus d’infos.

Comment rédiger une bonne fiche produit ?

Pour rédiger une bonne fiche produit, vous devez écrire une contenu unique et pertinent qui vous démarquera de vos concurrents. Vous devrez faire une bonne description de vos produits afin d’attirer un acheteur potentiel. Assurez-vous d’avoir une bonne plume, faites attention à votre orthographe et vos contenus. Votre produit sera ainsi plus visible sur le web. Vous devez aussi susciter la confiance de vos acheteurs. N’oubliez pas que de nombreux consommateurs restent réticents par peur d’être arnaqué. Construisez cette confiance à travers vos fiches. Bref, si vous cherchez une solution pour la gestion de vos informations produits, un logiciel PIM assurera de collecter, d’enrichir et diffuses vos fiches produits.

Comme on dit, les clients sont rois. Donc, pour une entreprise, répondre efficacement à ces attentes est très important. Il déploie même des stratégies afin de mieux les satisfaire. Une bonne relation avec la clientèle est donc un enjeu majeur pour une entreprise.

Qu’est-ce qu’une bonne relation client ?

La base d’une bonne relation client est tout d’abord de connaître ses clients. En effet, connaître un client permet de mieux adapter des stratégies pour répondre efficacement à ses attentes et connaître ses besoins. Pour cela, il faut avoir une bonne écoute pour bien identifier ses demandes. Donc, avoir une écoute active est donc très important. Avec ces stratégies, il sera possible de construire une relation solide et durable entre le client et l’entreprise. Bref, déployer des stratégies centrées sur les clients, comme l’explique Goaland, permet donc une bonne relation client.

Quelles sont les stratégies à adopter pour une bonne relation client ?

Une stratégie centrée sur la clientèle est très recommandée. En effet, les clients sont ceux qui permettent de faire vivre une entreprise. Sans eux, une entreprise n’aura aucun bénéfice et sera obligée de fermer ses portes. Donc, établir une bonne relation clientèle est très important. C’est en quelque sorte, un moyen de fidéliser les clients. On peut le considérer comme un marketing client qui met en avant les attentes et les besoins des consommateurs. On les écoute afin d’anticiper sur ses attentes et surtout celle du marché. Donc, pour obtenir une bonne relation client, l’accueil du client et les services doivent être de qualité. Bref, une bonne relation avec la clientèle permettra de construire une relation de confiance entre les clients et l’entreprise, ce qui améliorera son rendement.

Quels sont les enjeux de la relation client ?

Nombreux sont les enjeux d’une bonne relation clientèle. Répondre et traiter efficacement les demandes du client est l’un des plus importants. En effet, le client aura toujours des demandes et réclamations. Ce qu’il attend de leur conseiller, c’est de répondre efficacement à ses demandes. Donc, si vous trouvez de solutions efficaces à leur demande, ils seront satisfaits de votre service. Ce qui sera un bon point pour l’entreprise. De plus, la satisfaction d’un client est un des objectifs les plus importants pour une entreprise, car celle-ci permet leur fidélisation. Or, cette fidélisation ne sera pas atteinte si la qualité du service est médiocre. La qualité d’un service reflète donc une bonne relation client. Bref, une bonne relation client se base donc sur la satisfaction du client à travers un service de qualité. Quelle que soit alors la méthode à adapter, l’objectif d’une entreprise sera toujours de satisfaire ses clients potentiels.

Vu qu’il s’agit en quelque sorte de la vitrine de l’entreprise auprès des futurs clients et des clients, un catalogue commercial peut être l’ambassadeur de marque, recueil publicitaire ou de produits. Donc, d’où l’intérêt de construire un catalogue captivant qui partage l’envie de conclure la consultation des pages par l’achat d’un service et/ou produit. Mais comment construire un catalogue produit clair et agréable ?

Confier la création de catalogue à un expert

Il faut être accompagné par un chef de projet dédié pour bénéficier de conseils avisés pendant tout le processus de création. Les professionnels conçoivent des solutions parfaitement adaptées afin de répondre à toutes les problématiques que rencontrent les entreprises du secteur e-commerce pour un résultat final professionnel. Dans la mise en place d’une stratégie omnicanale, la plateforme de gestion PIM sur goaland.fr, par exemple, présente des solutions avantageuses tout en permettant aux clients de partager une information complète, au bon moment et à jour.

Ce qu’il faut faire pour avoir un résultat tendance

Tout d’abord, il faut choisir un format original et spécifique par rapport aux concurrents. Pour être le plus performant possible, le catalogue produit doit se démarquer. La palette de couleurs usée a aussi son importance. Notamment, un bon catalogue produit agréé qui permettra aux abonnés de se projeter. Il faut mettre les produits en valeur. Quels que soient les catalogues et le domaine, le minimalisme est un régime créatif à prendre en compte. C’est pourquoi il est conseillé de favoriser la tendance du minimalisme. Enfin, il faut respecter une mise en forme constante. Si le contenu du catalogue est primordial, son design l’est tout autant pour remplir les objectifs.

Les pièges à éviter afin de réussir un catalogue produit

Il faut éviter de faire trop compliqué, négliger la qualité des photos, ne pas imprimer un exemplaire de test, négliger les entrées de lecture, trop charger la mise en page, et d’oublier de personnaliser le catalogue. En étant un instrument stratégique de la communication client, le catalogue produit a de multiples fonctions, à savoir : éduquer les acquéreurs sur les modes d’emploi de certains services ou produits, transmettre des messages de communication sur mesure, diffuser une marque, faire passer l’univers de la société, présenter des services ou des produits, etc. Que ce soit pour l’employer sur un présentoir dans le point de vente, en prospection de clients ou sur des salons, un catalogue produit est la clé afin de réussir un marketing relationnel.

En ce moment, de nombreuses personnes se lancent dans la vente en ligne. Elles pensent que c’est un moyen de se faire de l’argent plus rapidement. Seulement, il faut savoir que le e-commerce est un métier à part entière et que cela s’apprend. Créer un site e-commerce requiert effectivement de nombreuses compétences dans de nombreux domaines.

Tout ce qu’il ne faut pas faire dans la création d’un site e-commerce

Dans la création d’un site e-commerce, un grand nombre d’erreurs sont à éviter si on veut réussir le projet. Il ne faut pas par exemple penser que le marché est très bénéfique parce que beaucoup de gens mettent en vente un produit. Choisir des produits qui se vendent bien sur le web ne va pas obligatoirement assurer une bonne statistique de vente. Cela dépend de plusieurs points, entre autres le prix, la gamme… Ensuite, ne pas connaître les entreprises concurrentes fait aussi partie des erreurs à ne pas commettre. Pour connaître d’autres erreurs à éviter absolument sur un site e-commerce, rendez vous sur goaland.fr.

Les étapes dans la création d’un site e-commerce

Si on décide de créer un site e-commerce, il est indispensable de suivre quelques étapes pour réussir le projet. On doit commencer par définir le secteur d’activité en utilisant le PIM. En effet, il faut choisir le type de produit qu’on souhaite vendre. Ensuite, on devrait faire une étude de marché en identifiant les concurrents, leur mode de communication et leur part de marché. C’est à partir de cela qu’on peut choisir son axe de communication pour se démarquer. Il faudra préparer le projet de création du site marchand à travers un cahier de charges. Puis, il faut essayer d’obtenir un catalogue de produits. On termine par le choix des moyens de paiement, des modes de livraison, de la rédaction des descriptifs des produits, du contenu du site et de la mise en ligne de ce dernier.

Les règles à suivre dans la création d’un site-commerce

Créer un site e-commerce est un travail qui peut être difficile mais intéressant si on arrive à respecter les règles. Pour réussir le lancement de ce type de plateforme, il est impératif d’investir du temps et de l’argent. En effet, on doit prévoir un budget pour créer un logo professionnel attirant ou pour avoir un thème plus ergonomique. Pour obtenir un site e-commerce plus performant, il faut éviter d’être radin. Si on n’investit pas un minimum d’argent sur le site, il ne sera pas visible ni référencé. Ensuite, une autre règle à respecter est de rendre le site plus professionnel pour inspirer confiance et rassurer le client. Pour cela, il est conseillé d’utiliser le PXM.

Les réseaux sociaux sont des outils incontournables pour faire connaître une activité. Ils permettent également de partager des actualités et constituent une stratégie de communication fiable. Il existe plusieurs réseaux sociaux de nos jours. Ils sont tous aussi intéressants et peuvent être utilisés par tous les professionnels indépendants. On peut notre Facebook, Twitter, LinkedIn, Instagram, etc. Pour gagner plus de followers sur les réseaux sociaux, voici ce qu’il faut faire.

Assurer une présence adéquate au bon endroit

Pour gagner des followers, il faut être au bon endroit et assurer une bonne présence. Vous n’arriverez jamais à communiquer si vous n’avez personne à cibler. Ainsi donc, il est capital de faire le bon choix des réseaux sociaux. Il s’agit du réseau sur lequel vous désirez apparaître. Pour cela, tâchez de savoir où exactement vos clients ont l’habitude d’aller sur internet. Miser sur un seul réseau social peut être bénéfique avec une meilleure stratégie. S’éparpiller pour être présent partout est aussi probant, mais demande du temps et de l’organisation. Il faut donc se lancer dans un réseau correspondant à votre activité et très fréquenté par vos cibles. Afin de connaître où s’afficher, pensez à vous renseigner auprès de vos anciens habitués.

Publier des contenus pertinents

Gagner des followers sur les réseaux sociaux requiert la publication de contenu de qualité. À ce propos, diversifiez vos contenus. Ne vous contentez pas à de longs textes qui peuvent être fastidieux à lire. Pensez à ajouter des vidéos, des photos et d’autres visuels attirants. Ces derniers assurent une notoriété optimale et accroissent vos nombres de prospects. Sachez en plus que les jeux-concours favorisent l’engagement des abonnés. Ils les incitent à partager votre activité. De ce fait, vous serez plus connu sur le web. Un moyen excellent pour multiplier le nombre de visiteurs d’un site aussi. Ainsi, en publiant des contenus de qualité sur vos profils de réseaux sociaux, vous séduisez plus d’abonnés.

Inviter ses salariés et partenaires à suivre son profil

Enfin, il est aussi possible d’encourager vos salariés à suivre votre profil sur les réseaux sociaux. C’est une astuce précieuse permettant d’avoir plus de followers. Une manière d’obtenir plus de mentions j’aime. Effectivement, vos employés peuvent vous aider à créer une communauté plus large. Ils permettent une visibilité optimale de votre marque sur le Net. Par conséquent, vous pouvez aussi inviter vos partenaires, fournisseurs et collaborateurs. Pour ce faire, envoyez-les un mail personnel. Le but est de les signaler de l’existence de vos profils de réseaux sociaux. Une solution idéale pour gagner des followers et pour développer vos activités. La signature d’email est aussi une technique adaptée pour augmenter votre effectif d’abonnés. Cela consiste à ajouter des liens qui redirigent vers les profils de votre entreprise. Vous devez élaborer un modèle et encouragez vos collègues à s’en servir par la suite.

Vous souhaitez attirer plus de consommateurs particuliers et connectés ? On a désormais la possibilité de promouvoir nos produits dans les réseaux sociaux pour plus de bénéfices. Mais quels sont les réseaux les plus pratiques en marketing ? Il y a une large de choix de réseaux sociaux pour diffuser vos campagnes d’influence. En effet, chaque réseau social présente des avantages et des inconvénients. C’est à vous de choisir en fonction de votre service/produit, votre marque et votre cible que vous désirez promouvoir. Un placement de produit dans les réseaux représente un moyen de communication très pratique, car il permet de faire naître un besoin chez vos éventuels clients, surtout lorsque le produit est exposé particulièrement sur les réseaux sociaux.

Le marketing d’influence sur le réseau d’Instagram

Instagram est en seconde place parmi les réseaux sociaux le plus utilisé au monde. Dans ce réseau social où l’esthétique des publications est très importante pour attirer plus d’audiences. Afin de réussir le contrôle des réseaux sociaux et du marketing, les influenceurs prennent l’habitude de prioriser des enseignes pour leurs followers. Ce geste leur permet de rester en contact voire de se rapprocher de ces derniers. Sur Instagram, le placement de produit est plus facile à mettre en œuvre grâce à la rapidité de la production de contenu. Ce réseau représente un atout pour la communication, car il dispose de fonctionnalités destinées à l’Influence Marketing.

Placement de produits et Influence marketing sur YouTube

Grâce à ce réseau social, le message à faire passer peut être sous un format plus dynamique et conversationnel. Les influenceurs peuvent s’entraider, pour promouvoir le produit de l’un à travers la production de l’autre. L’utilisation du réseau social YouTube est en hausse constante surtout lorsqu’il s’agit de placement de produits. Les influenceurs obtiennent plus de vues et leurs fans augmentent en même temps. Parmi les réseaux sociaux et marketing, YouTube attire plus de 4 milliards d’internautes, consommateurs ou pas, ce qui bénéficie les influenceurs de jour en jour.

Le marketing sur le réseau social Facebook

Facebook est placé en tête de liste parmi les réseaux sociaux et marketing les plus utilisés dans le monde, avec plus de 2 milliards d’utilisateurs. Ce réseau peut représenter un porte-parole parfait pour promouvoir les produits ainsi que transmettre ses valeurs. Et cela, grâce à sa crédibilité et son atout de réseau d’influence. Sur Facebook, est possible de s’adresser à un public large qui à son tour pourra partager ses placements de produits. Les utilisateurs de ce réseau sont plus sensibles aux discours et aux différents aspects influences, ce qui facilite la promotion d’un quelconque produit. Les influenceurs sur Facebook peuvent vous offrir un placement de votre produit en redirigeant le public vers votre compte ou votre page.

Dans nos jours, Instagram accélère ses vitesses pour développer le monde de la publicité. Il se concentre sur les offres publicitaires. Également, il offre une occasion pour les annonceurs sous plateforme qui rend des revenues essentielles. Comment est la révolution Instagram dans le monde publicitaire ? Voici quelques points forts.

Pourquoi réalisez-vous de la publicité Instagram ?

Dans la révolution d’Instagram, vous pouvez réussir en dépensant d’argent dans son monde de publicité. Instagram est intéressant grâce à son audience. Ce dernier est un réseau très jeune. Une étude affirme que les 60 % de ses utilisateurs ont découvert un produit ou un service pour la première fois via ce réseau..  Les entreprises utilisent aussi Instagram pour des raisons publicitaires. Le lien de publication pour quitter la plateforme est aussi plus facile et les internautes peuvent avoir plus d’interaction. Ce dernier peut répondre aux publicités immersives.

La création de la publicité Instagram efficace

Aujourd’hui, les publicités sont plus accessibles dans les réseaux sociaux et économise le budget. Pour votre révolution d’Instagram, la première chose à faire est de bien définir vos objectifs. Cela dépend de vos principes objectifs : de vendre vos produits ou bien de gagner d’abonnés ou d’être plus reconnu. Votre publicité et votre message vont être mis en apparence et bien influencé par tout le monde. Donc, il vaut mieux bien réfléchir à l’objectif. Pensez aux personnes que vous aimez adresser. Ensuite, montrez votre personnalité en respectant la charte graphique. Cela demande d’une publication bien visuelle à votre façon. Également, choisissez bien votre typographie, vos couleurs de fond et l’élément à insérer. Pour faire correspondre vos usages de la plateforme, composer vos images ou vos vidéos ou vos story sur un format spécifique. Optez pour des images de haute qualité. Concernant vos images, il vaut mieux qu’il est parlant et ne surcharge pas trop votre texte. Pour plus de tendances, utilisez-vous du mot clic pour attirer les gens à vous découvrir.

Comment réussir vos publicités Instagram ?

La révolution d’Instagram dans le monde de la publicité occupe une grande place. Donc vous devriez vous réussir vos publicités. Les nombres d’utilisateurs augmentent chaque jour donc il vaut mieux garantir la réussite de votre publicité. Il existe de types de publicité qui ont réussi comme le turkish Airlines. Son image, son appel d’action et son accroche sont bien attirants et créatifs. Et aussi le MentorBox qui joue sa publicité vidéo. Toutefois, il est recommandé de ne pas écrire des longues, car la clé de la réussite c’est sur l’apprentissage du contenu. Le MentorBox joue son rythme et son image qui est bien parfaite. Pour bien réussir, il vaut mieux choisir des couleurs vives et des émotions suivies des photos. Éloignez les photos ennuyantes et concentrez-vous sur les offres d’Instagram pour acquérir aux bons bénéfices.

Les réseaux sociaux commencent à gagner du terrain dans presque tous les domaines, y compris le marketing. En effet, nombreux sont ceux optant pour le marketing numérique et misent sur l’exploitation du potentiel de ces derniers. De plus, on ne peut pas nier les avantages qu’ils représentent aux yeux des startupers, mais aussi des petites et des moyennes entreprises. Raison pour laquelle on les attribue une place importante dans le marketing.

Outil de communication efficace

Ce n’est plus un secret, la plupart des marques sont présentes sur la toile, les réseaux sociaux inclus. Effectivement, depuis l’avancée du numérique, beaucoup se rendent compte de la place des réseaux sociaux dans le marketing. Ces derniers sont surtout utilisés afin de faciliter l’interaction avec la clientèle. Rapides et performants, les réseaux sociaux vous permettent de gérer au mieux la communication avec vos clients cibles. Ils contribuent également dans la fidélisation de ceux-ci. De même, vous pouvez changer vos visiteurs en clients, mais aussi discutez naturellement avec votre audience. Véritable canal communicatif, les réseaux sociaux vous connectent aisément avec les personnes vous suivant.

Visibilité et crédibilité assurée

Globalement, on peut affirmer que miser sur les réseaux sociaux et leurs influences reste plus rentable que n’importe quelle autre stratégie marketing. Cela signifie que plus vous êtes conscient de la place des réseaux sociaux dans le marketing, plus vous avez des fortes chances d’accroître votre notoriété et l’autorité de votre marque/produit/service. Sachez aussi que votre présence sur les réseaux sociaux vous rapproche de votre audience, d’autant plus que les contenus partagés sont plus authentiques et touchent plus la masse. Cela va vous permettre d’installer une confiance solide avec vos cibles. Aussi, cette stratégie est une réelle opportunité à saisir côté référencement afin d’être plus visible et de mieux se positionner. N’oubliez pas qu’actuellement optimiser les contenus et faire des mises à jour régulier ne suffisent plus pour atteindre une meilleure position sur les moteurs de recherche. D’ailleurs, être sur les médias sociaux rend votre marque plus accessible. En vulgarisant vos actualités et votre contenu, votre site pourrait devenir populaire auprès de votre audience, vous permettant de gagner un trafic régulier sans trop dépenser. Il n’est, donc, pas faut de dire que les réseaux sociaux sont des facteurs importants dans le référencement et la fidélisation.

Audit plus simplifié

Afin de réaliser la place des réseaux sociaux dans le marketing, une entreprise doit investir de l’argent, mais surtout du temps. De ce fait, il est important de savoir manier intelligemment les médias sociaux pour n’en tirer que les bénéfices. Lorsqu’on parle d’audit, on se réfère à une analyse approfondie. Les réseaux sociaux peuvent grandement aider à simplifier cette tâche. En effet, avec ces derniers, vous aurez un véritable panel d’outils à portée de main. Ainsi, vous pouvez sonder, plus facilement, les besoins et les avis de votre audience. Cela vous donnera un hic sur ce qu’il faut améliorer et ce que vous devez proposer ou créer. Notez également que les réseaux sociaux vous seront d’une grande aide dans votre veille concurrentielle. Ils vous ouvrent une fenêtre pour observer le fonctionnement du marché, les méthodes utilisées par vos concurrents et les positionnements de ceux-ci auprès de la masse. Cela vous facilitera la quête d’une stratégie marketing efficace. Toutefois, il est vivement recommandé de choisir les bons réseaux sociaux pour exceller dans ce domaine. Du coup, avant de vous lancer, effectuez une étude sur ce qui est en vogue, en fonction de votre audience cible. Cela vous permettra de savoir quel contenu partager et à quelle stratégie avoir recours.

Le classement des marques est basé sur le nombre d’abonnés sur les réseaux sociaux, le nombre de recherches, et les statistiques de participation Internet. Il est établi sur une analyse du comportement de plus de quelques millions de consommateurs qui surfent et achètent sur Internet à travers environ des milliers marques et boutiques en ligne.

Comment font les marques pour être les plus prisées sur Internet ?

Au fur et à mesure, les entreprises utilisent l’Internet et les réseaux sociaux pour promouvoir leurs produits. Les options de publicité en ligne ne manquent pas. Pourtant, de nombreux consommateurs recourent à des applications pour empêcher la diffusion des publicités. De plus, il est difficile de ne pas être d’accord sur le fait que le contenu soit supérieur : les consommateurs apprécient les podcasts, vidéos et photos. La consommation de contenu continue de s’accroître.

Pour les grandes et petites entreprises, le marketing d’influence est devenu une méthode indispensable pour avoir des marques influentes comme Gucci, Nike, Adidas et beaucoup d’autres marques. Une forte présence sur Internet peut augmenter la productivité et l’efficacité de ces entreprises tout en diminuant leurs coûts de marketing.

Comment les marques les plus influentes rédigent-elles leurs légendes ?

Les légendes des publications sur Internet sont souvent sous-estimées, alors qu’elles constituent une partie importante pour trouver un engagement avec les abonnés de votre compte. Cet espace d’expression est essentiel pour fournir plus d’informations sur les vidéos, les photos, que vous pouvez diffuser, car ils ne sont généralement pas autosuffisants.

Les mots intégrés dans les deux premières lignes sont essentiels, car ce sont les seuls mots affichés sur l’écran du consommateur, en revanche, le contenu suivant ne peut être mis de côté. Vous devez toujours vérifier l’expérience de l’utilisateur des réseaux sociaux. Les marques influentes l’ont bien fait en fournissant une compréhension immédiate du contexte et du but de la photo ou de la vidéo.

Contacter les influenceurs pour avoir un écho sur les clients

Trouver le bon influenceur pour votre campagne de marketing d’influence dépend de plusieurs critères : la pertinence des connaissances de l’influenceur pour l’offre ou le contenu à lancer, la valeur, la réputation, les prix proposés…. Cependant, l’identification de tous ces éléments prend du temps pour mener une expertise complète de tous les influenceurs potentiels. L’authenticité est un facteur essentiel dans le succès d’une campagne de marketing d’influence des entreprises de grande marque. Plus la collaboration entre une marque et un influenceur est naturelle et évidente, plus la campagne est efficace.

Parfois, les employés peuvent devenir les ambassadeurs les plus influents de la marque. Il est temps pour un plus grand nombre d’entre eux de profiter de cette occasion. En utilisant la puissance des relations interpersonnelles présentes dans l’organisation, les entreprises des marques influentes par exemple Ferrari, off white… élargissent leur portée, maximisent leur potentiel et augmentent le niveau de satisfaction des employés.

De nos jours, la vente en ligne est devenue une pratique favorable pour tout le monde. Outils et marchandises, des produits de toutes marques sont disponibles sur internet. Cinq idées importantes sont à respecter pour booster une marque sur le net, mais tout d’abord comment faire pour créer une boutique en ligne ? Est-il nécessaire aussi de suivre une formation en e-commerce ?

Démarches pour créer une boutique en ligne

La reconnaissance juridique est une première chose à faire. En effet, il faut avoir un statut, un numéro d’immatriculation enregistré auprès des services concernés. Ensuite, il faut déterminer la dénomination auprès d’un hébergeur de site web. Et comme toute acte commerciale, la loi exige la rédaction d’un cahier des charges définissant le projet. Puis créer le site en utilisant des applications cédant un e-commerce. Une déclaration doit être établie auprès de la commission régionale ou nationale chargée de l’informatique. Mais l’essentiel est d’assurer les fournisseurs qui sont capables de répondre aux demandes d’approvisionnements pour éviter la rupture des stocks de marchandises à vendre. Et surtout de trouver un professionnel pour assurer la livraison de commandes reçues auprès des clients. Ces derniers doivent aussi bien informer sur les produits avec des fiches renseignant chaque marchandise exposée en ligne tout en respectant les règles et mentions légales. Le lancement est la dernière chose à réaliser pour booster sa marque sur internet.

Formation en e-commerce

Parfois pour être sûr, et pour réussir dans les affaires commerciales, il est nécessaire de suivre de formation appropriée. Une formation en e-commerce est importante pour bien gérer sa boutique en ligne. Savoir un peu sur ce qu’on entend par email marketing qui permet de lancer la vente, de faire de bénéfices, monter les chiffres d’affaires. Elle permet aussi d’attirer plus de visiteurs, favorisant le clientélisme. En outre, la formation en e-commerce favorise et permet aussi de booster sa marque sur internet.

Cinq idées pour booster une marque sur internet

Pour bien booster sa marque sur internet, cinq idées essentielles doivent être prises en considération et doivent être respectées. Tout d’abord, le produit à vendre doit être déterminant avec de la première qualité. Le produit est à la fois le premier élément et la base de l’activité. Le prix joue aussi un rôle commercial très important, le rapport prix/qualité doit être aussi bien balancée. La publicité est toujours marquée par la promotion qui est une idée permettant de booster une marque pour la vente en ligne. La promotion d’un produit affiché en première page, considérée comme à la une, qui garde une place importante conduit souvent à une vente bien réussie. Avoir l’idée d’un plan d’affaires bien déterminé et planifié est considéré comme étape très indispensable pour faire réussir sur internet une affaire durable.

Les entreprises, les marques, et d’autres encore font appel à des influenceurs pour se démarquer de ses clients et notamment pour attirer de nouveaux clients. Les personnes les plus influentes ont leurs propres audiences, et de plus en plus d’entreprises et d’organisation font appel. Ces influenceurs vont, par la suite, influencer leur audience à acheter tel ou tel produit de l’entreprise.

Quelles sont les raisons pour faire appel aux influenceurs ?

Les marques sont en compétition à chaque jour qui passe. La concurrence est extrêmement rude pour se populariser et se familiariser envers les gens. Les influenceurs et publicité sont les moyens les plus rapides et les plus efficaces pour obtenir de bons résultats et se placer en tête de liste. Ces entreprises doivent néanmoins construire des relations au long terme avec ces influenceurs.

Les utilisateurs des réseaux sociaux doivent identifier le partenariat entre la marque et l’internaute, sans cela, la crédibilité de l’influenceur risque de se détériorer. Les marques ont besoin de la créativité de ces influenceurs. Elles recherchent, chez les influenceurs, la capacité d’orchestrer les concepts ou les produits. Cette relation permet de pousser les limites de ces marques pour aboutir à l’obtention de nouveaux marchés. Ces méthodes sont aussi appelées « e-influence ». Elle prend de plus en plus de pouvoir sur les méthodes de faire de la publicité et de la communication authentique.

Que font ces influenceurs pour être aussi efficaces ?

Ils utilisent des méthodes assez simples, mais qui implique assez de temps d’application. Ces personnes sont surtout des experts dans un domaine précis (mode, sport, voyage, etc.). Ils savent se mettre à la pointe des évolutions et des nouvelles tendances ; de cette manière, ils gagnent chaque jour en audience. Ainsi, ces derniers considèrent l’influenceur comme un véritable leader. Ils utilisent en leur faveur cette connaissance des supports sociaux et cette possession d’un nombre important d’audiences pour d’introduire la marque de leur partenaire.

La marque bénéficie alors d’une augmentation en visibilité et touche des cibles plus larges.
Les influenceurs et publicité attaquent et permettent aux entreprises de gagner en capitale sympathie. En effet, en collaboration avec une personne influente, les communautés de cette personne montreront de l’intérêt à la marque. Cette action peut résulter à l’achat d’un produit.

Quels sont les bénéfices que gagne une marque en faisant appel à des influenceurs ?

L’e-influence est une nouvelle présentation de la publicité. Elle fait parties des plus bénéfiques en ce qui concerne les techniques et les stratégies de marketing digital. Cette méthode est très pratiquée par de nombreuses entreprises grâce à sa capacité de faire booster les ventes, de faire augmenter en visibilité ou de donner une position monopolistique.

Mais l’entreprise doit analyser les influenceurs et publicité avant de prendre des décisions. Pour se faire, elle doit vérifier le blog ou la page de ces personnes en prenant en compte ses taux de clics, d’engagement, de vente, etc.

Avec la popularité des réseaux sociaux et l’émergence d’influenceurs, les annonceurs ont saisi l’opportunité de changer leur manière de fonctionner pour atteindre de nouveaux objectifs. En profitant d’une communauté active et une large audience, ces influenceurs sont devenus un moyen préféré de la marque. Leurs opinions ont été censurées et écoutées, et leurs paroles ont grandement influencé beaucoup de followers. De nos jours, les partenariats d’influenceurs sont une pratique très courante en ligne. Cela apporte beaucoup de garanties aux marques, qui peuvent gagner en popularité, en réputation, et surtout, augmenter leur chiffre d’affaires.

Définir la forme de partenariat influenceur

Aujourd’hui, il existe de nombreuses possibilités pour mettre en place un contact entre influenceurs et marques. Il est essentiel de choisir le style de contenu que vous souhaitez façonner avec votre partenaire. En effet, en fournissant suffisamment de collaborations intéressantes aux influenceurs, vous êtes plus susceptible d’attirer leur attention.

En tant qu’influenceur qui travaille sur les réseaux sociaux, vous devez avoir vos propres normes professionnelles. En effet, les marques comptent sur vous pour véhiculer et surtout promouvoir les valeurs des entreprises. Par conséquent, elles vous confient leur image de marque. Vous devez assumer cette énorme responsabilité, ce qui nécessite une qualité de contenu idyllique et une créativité.

Trouver un partenariat dans un domaine bien précis

Pour établir un contact entre influenceurs et marques, vous devez avoir un positionnement clair. En d’autres termes, concentrez-vous sur un domaine que vous maîtrisez et fascinez comme la mode, la beauté, la gastronomie, le sport… pourquoi ? Parce qu’une marque de sport préfèrera travailler avec un influenceur de fitness qu’avec un autre. De même pour la marque de compléments alimentaires, de cosmétiques, etc., alors, cela semble assez cohérent au final. Vous êtes vous-même plus susceptible d’acheter des articles de sport dans un magasin de sport et d’acheter vos tenues dans un magasin de prêt-à-porter.

Grâce à la spécialisation, vous attirerez donc plus de marques du même domaine, et ces marques s’appuieront sur votre expertise pour vous faire confiance. Au contraire, si vous êtes dans tous les aspects, vous risquez de perdre des annonceurs et de rater des opportunités. Les marques recherchent parfois des informations très précises comme l’âge, lieu…. Assurez-vous de les inclure dans votre description.

Soyez authentique pour obtenir un partenariat

Il y a de plus en plus de faux influenceurs. Vous savez, ces surfeurs qui achètent des likes, des commentaires ou des followers pour augmenter leurs stats et satisfaire leur vanité. Hélas, ces personnes font gaspiller beaucoup d’argent aux marques. Le contact entre influenceurs et marques est possible dans le cadre de la participation à des activités qui attirent les influenceurs.

Pour éviter cette croissance inquiétante, les détecteurs de contrefaçon ont proliféré sur Internet. De cette manière, les marques ne peuvent plus être dupées et traquer les influenceurs contraires à l’éthique. Cette méfiance envers leurs influenceurs s’est même accrue. De cette façon, ceux qui sont fous de partenariats qui ont une série de collaborations sont également mis sur la liste noire par les grandes marques.

Pour une entreprise, le marketing prend une très grande place dans sa stratégie de communication. En effet, les consommateurs sont actuellement devenus incrédules aux stratégies marketing habituelles et ne font plus confiance à des publicités promotionnelles. D’où la diversification du politique marketing par l’utilisation du marketing d’influence. Pour ceux qui ignorent tout de ce sujet, voici une définition de l’influence marketing et son utilité auprès des entreprises.

Qu’est-ce qu’une influence marketing ?

Le marketing d’influence ou influence marketing est un ensemble de technique qui sert à utiliser la force de recommandation ou la prescription des influenceurs afin de promouvoir une marque. En effet, les marketeurs utilisent le marketing d’influence comme canaux de communication. Ils l’utilisent pour faire connaître la marque de l’entreprise ou ses produits. Les influenceurs utilisent plusieurs réseaux sociaux pour promouvoir une marque. Ils les utilisent pour influencer ou faire changer le comportement d’achat des consommateurs. La définition de l’influence marketing est donc un moyen qui consiste à faire appel à des influenceurs pour promouvoir ou faire connaître une marque auprès de ses abonnés. On peut ainsi considérer le marketing d’influence comme stratégie marketing du bouche-à-oreille, mais sur les réseaux sociaux. Cette stratégie est très efficace et a plus d’impact sur le consommateur. De plus, le marketing d’influence vise particulièrement à se servir de la confiance de ses abonnés pour faire connaître un produit ou une marque.

Pourquoi utiliser l’influence marketing comme stratégie de communication ?

Le marketing traditionnel perd de plus en plus sa place. Actuellement, les consommateurs font plus confiance à des recommandations que les publicités promotionnelles ou l’utilisation de la célébrité pour des pubs. En effet, les publicités ne sont plus efficaces. C’est pourquoi opter pour le marketing d’influence est plus adapté par rapport à la stratégie marketing traditionnelle. De plus, la stratégie du marketing d’influence est plus virale. Il touche beaucoup plus de consommateurs, ce qui permet d’élargir son audience et faire booster sa visibilité. Cette stratégie permet ainsi de faire connaître facilement la marque de l’entreprise et améliore sa performance. Cette notoriété de la marque est donc le résultat du marketing d’influence.

Quels sont les avantages d’une influence marketing ?

Les avantages de l’influence marketing sont nombreux. En effet, les influenceurs ont des milliers d’abonnés ce qui permet de faire savoir rapidement la marque de l’entreprise. De plus, les abonnés des influenceurs sont très actifs et réagissent vite à chaque publication d’un influenceur. Ce qui permet de savoir la réaction des clients par rapport à l’offre de l’entreprise. Le marketing d’influence est aussi un moyen qui permet de connaître les attentes des clients. Ainsi l’entreprise pourra corriger ou améliorer son offre en fonction de la réaction du public vis-à-vis de leur offre. De plus, le marketing d’influence est une meilleure solution pour vendre ou promouvoir un produit ou une marque. Comme dans la définition de l’influence marketing, il vise surtout à faire appel à des influenceurs pour se faire connaître. L’avantage d’utiliser cette stratégie marketing est donc d’avoir une large audience grâce à l’influenceur.

Internet ne cesse d’évoluer de jour en jour. Il en est de même pour les habitudes de consommations des internautes. En effet, de nouveaux profils ont vu le jour et deviennent des célébrités exceptionnelles. Il s’agit entre autres des influenceurs. Ce sont des spécialistes dont les entreprises font appel afin de les intégrer à leur stratégie marketing des influenceurs.

Le marketing d’influence

Pour gagner en visibilité, la plupart des entreprises privilégient le recours à des influenceurs. En effet, la stratégie marketing des influenceurs aide à l’optimisation de la notoriété sur le web et au développement des ventes. Il s’agit essentiellement de l’ensemble des techniques et des capacités de créer des prescripteurs ou des ambassadeurs pour une marque. Quoi qu’il en soit, un influenceur se diffère souvent d’un ambassadeur suivant le domaine concerné. Il faut savoir que le marketing d’influence cible les membres actifs d’une communauté. L’influenceur qui n’est autre que le prescripteur même des marques dans les stratégies de communication. C’est grâce à lui que les entreprises peuvent accroître leur vente en un laps de temps court. Pour ce faire, il met en place une stratégie efficace et adaptée. Elle vise à convaincre les gens à consommer un produit ou à utiliser le service d’une marque.

Mise en place d’une stratégie marketing d’influence

Il existe plusieurs types d’influenceurs. Ils sont classés suivant la taille de leur communauté. Cette dernière qui représente un critère important pour différentes marques. La mise en place d’une stratégie d’influence se fait par la définition de vos objectifs en premier lieu. Cela peut être des objectifs B2C qui consistent à l’augmentation des ventes et de la crédibilité de votre entreprise. Ils peuvent concerner aussi la séduction de plus de trafic vers votre site ou autre. Pour des buts B2B, l’idée est de trouver de nouveaux détaillants ou distributeurs. Sinon, si vous désirez avoir plus de consommateurs et de clients, les influenceurs sont également les meilleurs alliés. L’annonceur établit un profil de prospects intéressés par vos produits et services. Pour ce faire, il investit sur des plateformes dédiées. Pour terminer la mise en place de votre stratégie, faites la sélection d’influenceurs adéquats.

La stratégie des influenceurs

L’influenceur joue un rôle important dans la politique marketing d’une entreprise. La stratégie marketing des influenceurs est un élément clé pour inciter les gens à consommer. En effet, il influence les comportements de consommation par sa capacité de persuasion. Il mise aussi sur son pouvoir de recommandation qui induit une confiance à laquelle les internautes sont sensibles. L’influenceur tient sa force de l’effectif de ses abonnés. Plus exactement donc, ses missions consistent à interagir et à s’échanger avec une communauté qu’il fédère lui-même. Il constitue un ambassadeur de marque, un leader d’opinion incontournable. Chaque influenceur a ses spécialisations. C’est pourquoi il est important de faire le bon choix d’influenceur pour être certain d’atteindre votre objectif.

De nos jours, l’ère du digital dans le monde a eu un fort impact sur la consommation habituelle des clients. En effet, c’est à travers les réseaux sociaux que les internautes effectuent leurs achats. C’est la raison pour laquelle les entreprises misent sur la méthode d’influence marketing afin de faire connaître ou de valoriser leurs produits.

Notion sur un influenceur

Un influenceur est tout d’abord un passionné et un expert dans un domaine en particulier, que ce soit dans le domaine de la mode ou encore du sport ou d’autres. Il est connu comme étant une personne célèbre sur internet. Étant présent sur les canaux digitaux, il est désormais suivi par des millions d’internautes. Ses publications sur les réseaux sociaux se font de manière quotidienne. Quelquefois, il peut même leur arriver de faire des publications plusieurs fois dans la même journée. Dans le monde actuel, on trouve 2 principaux types d’influenceurs. D’un côté, il y a « les méga-influenceurs ou les célébrités » qui disposent d’une communauté plus ou moins vaste. D’un autre côté, on peut rencontrer « les macro-influenceurs » qui ont une audience plus engagée et plus proche de leurs intérêts. Généralement, les influenceurs se manifestent sur différents supports médiatiques tels que les réseaux sociaux. Le plus connu des médias sociaux où l’on retrouve ces derniers c’est principalement Instagram. Toutefois, sur d’autres réseaux sociaux, on peut avoir la possibilité de trouver plusieurs influenceurs populaires comme : YouTube, Twitter, les blogs, Facebook, Snapchat, Pinterest ou bien Linkedin.

Comment travaillent les influenceurs ?

Le rôle des influenceurs se concentre généralement sur le fait d’inciter leurs abonnées à acheter les produits des entreprises avec qui ils collaborent. En effet, ils sont des ambassadeurs qui représentent des marques via les réseaux sociaux. Ils s’efforcent de mettre en avant, d’avancer des propos positifs sur des marques ou sur des produits. Pour ce faire, ils prennent des photos en mettant en exergue ces dernières. Après, ils mentionnent les références des boutiques afin de rediriger les acheteurs vers les vendeurs concernés. Ainsi, les influenceurs possèdent un énorme pouvoir sur la motivation ou sur le mode de consommation et d’achat des personnes qui les suivent. En tant qu’influenceurs, ils essaient de maintenir leur popularité et essaient d’atteindre une cible plus large.

Que gagnent les entreprises à faire appel aux influenceurs ?

Le rôle des influenceurs est en quelque sorte de venir en aide aux entreprises car ils sont les meilleurs alliés des entreprises. C’est la raison pour laquelle ils décident de faire un partenariat avec eux. Cette collaboration leur permet de booster plus rapidement leurs ventes. À part cela les entreprises peuvent gagner en visibilité, en réputation, en authenticité ainsi qu’en originalité par l’intermédiaire des influenceurs. C’est en quelque sorte grâce à ces derniers qu’elles accroissent leur notoriété et leur image. Selon certains avis recueillis récemment, les sociétés arrivent à obtenir beaucoup plus de clients grâce aux influenceurs.

Après l’avènement de l’internet, la technique commerciale d’une entreprise s’évolue. L’influenceur fait partie du marketing digital. Ce métier joue un rôle important et peut influencer un consommateur sur sa consommation et son comportement d’achat. Or, devenir influenceur demande une technique et une connaissance.

Qu’est-ce qu’un influenceur ?

L’influenceur est un véritable métier apparu avec l’arrivée du numérique, d’internet et des réseaux sociaux. Le fait de devenir influenceur devient un métier web désiré par les jeunes. Cependant, les réseaux sociaux sont le lieu de jeu de cette fonction. Or, l’instagram fait partie du réseau social plébiscité par la marque et par les influenceurs. Parfois, ce travail rejoint celui du Community Manager. Son rôle principal est d’influencer les abonnées sur le web dans de divers domaines. L’influenceur incite les gens à aimer et à acheter des produits ou des services. Il publie des photos, des contenus sur une thématique spécifique et différente. Ce métier s’introduit dans les stratégies marketing d’une entreprise. Cette technique permet d’accroître la visibilité, la notoriété du produit. Cette fonction permet de gagner de l’argent. L’influenceur tire son salaire de leur partenariat en faisant une promotion sur les réseaux sociaux.

Les clés pour devenir influenceur

Rêvez-vous de devenir influenceur ? Le travail d’influenceur demande une personne passionnée et authentique. À travers vos contenus, vos photos, vous devez avoir la passion et arriver à transmettre vos opinions et votre personnalité aux abonnées. Ensuite, un influenceur doit connaître son positionnement. Effectivement, un contenu délivré ne peut pas plaire à tout le monde. Donc, un influenceur doit identifier les personnes ciblées et choisir un domaine précis. Après avoir identifié la communauté ciblée, il faut créer des contenus. Pour avoir le succès, vous devez savoir les recherches des abonnées et la répondre dans le contenu. Dans ce cas, apportez une originalité avec votre personnalité. Soyez constructive et rédigez des articles de qualité à un rythme régulier. Quand vous avez réussi la partie, vous parvenez à disposer une communauté autour de vous. Cependant, pensez à fidéliser vos premières abonnées et élargir votre communauté. Après cette étape, contacter des entreprises de marque et déployer des partenariats. En outre, suivez des formations pour devenir un bon influenceur si nécessaire.

Les différents types d’influenceurs

Il existe de différentes catégories d’influenceur adaptées aux besoins de marques. En général, les célébrités deviennent des influenceurs à forte puissance. Presque tous les consommateurs sont attirés par les marques présentées par une célébrité. Ensuite, les macro-influenceurs font partie des types d’influenceurs. Ces influenceurs ont une grosse communauté et gèrent des millions d’abonnés. Il y a aussi les micro-influenceurs qui possèdent une compétence professionnelle. Cet influenceur gère une communauté de taille moyenne. En effet, il est capable de s’engager avec sa communauté. Comme les micro-influenceurs, les nano-influenceurs ont un engagement très fort. Ces influenceurs paraissent très qualifiés. Parmi les influenceurs sur l’internet, les blogueuses influenceuses restent les plus anciennes. Toutefois, elles représentent des avantages et des atouts pour la marque.

En ce moment, fournir une meilleure expérience produit à sa clientèle est devenu très important. Les entreprises mènent une stratégie pour bien gérer l’expérience produit afin de rester compétitif et de se démarquer de la concurrence. C’est une nouvelle approche pour déclencher l’acte d’achat, mais elle reste parfois un peu floue. C’est quoi exactement une expérience produit ? Quelle est la stratégie d’optimisation de celle-ci ? Et quels sont ses avantages ?

Qu’est-ce que l’expérience produit ?

L’expérience produit est en fait la somme des ressentis ainsi que des émotions vécues par une personne face à un produit ou service. En effet, cela implique les moments de découverte du produit, de son achat, mais aussi son utilisation. C’est alors l’ensemble des interactions des clients aux produits et services qui sont fournis par l’entreprise.

Elle prend une grande place dans la stratégie marketing de l’entreprise. Les interactions avec le produit peuvent générer des sentiments et des émotions qui incitent la clientèle à prendre une décision d’achat ou non. Et ces sentiments, qu’ils soient négatifs ou positifs, permettent à l’entreprise de mesurer le degré de satisfaction des consommateurs. Pour booster votre marketing, gérez votre expérience produit avec Goaland.

Les stratégies d’optimisation de l’expérience produit

Il existe une stratégie qui permet d’optimiser l’expérience produit. En fait, elle doit être évolutive et doit suivre également trois facteurs. Ces derniers sont l’évolution des attentes des clients, l’évolution du marché et des technologies et le cycle de vie du produit.

Tout d’abord, il y a les deux premiers facteurs qui sont plutôt liés. Les évolutions du marché et des besoins ont une relation particulière. L’évolution des technologies peuvent cependant transformer les besoins et les attentes de la clientèle. Elle transforme également le comportement des individus qui impacte de façon directe l’expérience.

Ensuite, il y a le cycle de vie du produit qui est le troisième facteur. Il y a quatre phases dans ce cycle, dont le lancement, la croissance, la maturité et le déclin. En général, c’est lors de la première phase que la stratégie d’expérience produit va se construire. Les entreprises doivent adapter leurs stratégies selon la phase du cycle.

Les avantages de l’expérience produit

L’expérience produit est le pilier de l’expérience client. L’expérience que les clients vivent avec le produit tient une place très importante dans l’expérience client. De plus, la qualité de l’information sur le produit fait décoller les ventes.

Ensuite, elle s’avère être une méthode pour valoriser les produits ainsi que de mieux les vendre. Elle permet donc d’atteindre les objectifs et de relever des défis au quotidien.

Enfant, Je ne ratais pas une occasion de me faire conter une histoire.

J’étais persuadé que cela me passerait ; Finalement, je crois que je n’ai jamais autant aimé cela que depuis que je suis adulte.

Internet devrait être un superbe outil pour la narration de récits. Pourtant à en croire Reuben Steiger, le canal a totalement échoué dans sa capacité à raconter des histoires.

Je souscris à son constat : Internet n’arrive pas – encore – à dépasser son statut d’outil technologique.
Dans cette course à l’avantage fonctionnel et au retour sur investissement, nous avons occulté le potentiel artistique et créatif du  médium.

Est-ce que cela ne participe d’ailleurs pas à l’essoufflement de l’efficacité de beaucoup de campagnes web ?

Tout bouche à oreille a besoin d’un déclencheur, d’un premier échange.
La technologie peut soutenir et accompagner cette démarche, mais nous devons proposer des raisons d’être séduit et convaincu.

Bien sûr, créer un récit et le faire exister sur le web peut s’avérer cher à produire. Des incertitudes demeurent encore lors du moment de la projection ROI.

Mais est-ce que faire l’impasse ne revient pas à ignorer l’univers du produit, à nier sa valeur.

Faites vous votre opinion mais penser que la seule présentation logique des caractéristiques suffit à augmenter les ventes, c’est vraiment croire aux contes de fées.

Le mieux est l’ennemi du bien. En web marketing, c’est encore plus vrai qu’ailleurs.

Pour faire parler d’une offre sur le web, la tentation est importante de contacter le plus grand nombre d’influenceurs et de relais d’opinions.

Or plus notre auditoire est vaste et plus il est difficile lui adresser un message personnalisé et impactant.
Conséquence : des contenus et des opérations tièdes.

Comment éviter cet écueil ? En acceptant la nature spécifique du canal web !

C’est ici qu’intervient la loi des 1%. Dans la droite lignée du principe de Pareto, cette règle justifie l’idée qu’1% des internautes produit le contenu réutilisé par les 99% restants. Bradley Horowitz argumente très concrètement ce phénomène sur son blog.

Sachant cela, attachez vous à identifier et convaincre vos Influenceurs. Ce sont eux qui ont le potentiel de générer une émulation solide.

En cas de succès, vous aurez optimisé votre investissement et l’efficacité de votre action.
En cas d’échec, vous pourrez étudier plus aisément les raisons de votre insuccès en interrogeant les cibles adressées.
Dans tous les cas, vous assurez la mise en place d’une opération plus cohérente, plus intelligible et moins verticale.

Finalement, vous en faites moins et vous aspirez à plus…

Change This est au business book ce que TED est à la vidéo de formation : une invitation à la découverte.

Sur le site, on se perd vite à lire de nombreux contenus dont on a pas toujours besoin il faut bien se l’avouer. Très souvent on reprend un doc que l’on a déjà lu plusieurs fois, mais que l’on à plaisir à consulter de nouveau avec un regard neuf (le bootstrapper de Godin a ma préférence).

En flânant et farfouillant, je suis donc tombé par hasard sur l’e-book de Michael J. Mauboussin intitulé « Getting Out of Embed » et judicieusement sous-titré « The role of Social Context in Decision Making ».

D’une certaine manière, le livre traite de l’importance du contexte de réception dans une relation d’influence.
Il ne cherche pas à convaincre de la nécessité de comprendre le récepteur ou l’auditoire ; Il ’attache plutôt à illustrer notre sensibilité naturelle au contexte social auquel on est confronté. Sur ce sujet l’expérience menée par Solomon Asch et décrite dans la première partie du livre est convaincante.

Plusieurs expériences, dont celle de Stanley Milgram, sont ainsi présentées. Toutes ont pour but de démontrer que nous avons tous un grand potentiel à être influencé par la situation, l’environnement, le contexte social…

Mauboussin conclut alors en invitant le lecteur à être plus éveillé à ces facteurs d’influence déguisés, et recommande la plus grande froideur dans la prise de décision.

C’est un peu le créneau des auteurs (scientifiques ou assimilés) qui traite de ces sujets :

L’être humain est par nature fort influençable, ne soyez pas dupe ! (certains en font d’ailleurs des émissions de télévision ou de radio à succès).
On peut s’interroger sur la pureté des intentions des auteurs de ces ouvrages comme on peut se demander dans quelle mesure nos réactions et nos comportements peuvent se voir modifiés par ces livres dont l’objet est de nous mettre en garde.

Du point de vue de la communication et du marketing, ces études nous apprennent et nous prouvent l’importance du contexte de réception dans la diffusion d’un message à vocation argumentative.
Il ne s’agit donc pas seulement d’isoler les critères invariables d’une situation, mais de prendre en considération la nature changeante et imprédictible du contexte au moment de la prise de contact.

Pour rendre ce point plus concret : ne vous êtes-vous jamais demandé la différence d’impact que pouvait générer une publicité à la mi-temps d’un match de foot en fonction du score ?
Comment valoriser une offre où faire vivre une expérience de marque à des téléspectateurs qui — entourés de leurs amis — s’apitoient sur les résultats déplorables de leur équipe préférée ?

C’est une problématique à laquelle les médias traditionnels ne peuvent apporter de véritables réponses.
A une époque où la publicité sur Internet suscite beaucoup d’interrogations, il y a peut-être, à ce propos,  des réflexions à mener sur les moyens d’optimiser le transport et la diffusion des contenus commerciaux auprès des internautes.

Le 23 juillet de cette année, Facebook annonçait une nouvelle fonctionnalité à destination des développeurs : facebook connect.

Il y a peu, RedBull intégrait sur un de ses blogs ce nouveau moyen d’optimiser la diffusion réseau.

Le principe est simple, l’internaute est identifié par son profil facebook, ses actions sur le site communautaire/participatif sont relayés sur son news-feed ou sur son wall. Résultat : son réseau bénéficie d’une exposition indirecte à ses centres d’intérêt et ses contributions.

Rien de nouveau sur le principe si ce n’est l’automatisation et la simplification des actions de relais du contributeur.

Bénéfice pour la marque : une visibilité optimisée. Notons que la politique d’ouverture concernant les développements d’applicatifs paye une nouvelle fois.

Une opération qui sert les intérêts des entreprises commerciales, des utilisateurs (dans une certaine mesure) et de la plateforme communautaire. C’est ça la solidarité 2.0, non ?

Un blogeur m’avait mis en garde sur la nécessité de contribuer uniquement lorsqu’on en ressentait l’envie.
Je constate donc que cela fait bien plusieurs semaines que je n’étais pas d’humeur.

Une petite pause requinquante à souhait.

Dans mes lectures récentes, je note cet ouvrage que m’avait conseillé Henri Kaufman : Propaganda « ou comment manipuler l’opinion en démocratie ».

Le livre reprend un texte d’Edward Bernays (un des créateurs des relations publiques) et s’enrichit d’une préface fort bien construite de Normand Baillargeon.

On y trouve un certain nombre de points pratiques et d’analyses dispensés par l’auteur. Le tout chapitré par catégories de lecteurs (conseils avisés au politique, au dirigeant…) ou segmenté par type de clientèle pour l’expert autoconsacré qu’est Bernays.

Si le contenu est merveilleusement cynique et distant, il est tout de même particulièrement orienté et sert les intérêts promotionnels du narrateur.

Pour résumer : un excellent ouvrage enrichissant et distrayant sur les pratiques des fondateurs et des enfants de la commission creel.

L’introduction contextualise intelligemment l’ensemble.

L’approche scientifique et les fondements des « théories » présentées semblent parfois bien légers.

A acquérir pour les fêtes en remplacement de son roman de gare mensuel.

Le web est un médium dynamique, en mouvement permanent.

De ce fait on pourrait penser qu’il a une nature éphémère ; Absolument pas.

Un des faits notable de différenciation entre une action de display (comprenez les publicités sur Internet) et une opération de social media (une conversation sur un blog, forum…) c’est la notion de compilation des contenus.

Quand vous produisez des bannières Internet, elles sont affichées sur des portails puis retirées sans que leur présence ait pu être mémorisée sur le canal.
A contrario, quand une conversation se lance autour de votre offre, elle reste en présence sur un forum, sur un blog, sur des sites de contenu. Elle continue à exister.

Vous trouvez cela effrayant ? C’est tout simplement une aubaine pour les annonceurs.

Pour imager mon propos, comparons les actions de social media au phénomène de strates géologiques.

Chaque nouvelle conversation est soutenu un peu plus par la précédente et permet une meilleure visibilité et une meilleure solidité de l’ensemble.

Notons également que si les strates inférieures correspondent à des conversations peu valorisantes, de toute façon l’internaute aura plus de chances d’être en contact avec les strates supérieurs.

Conclusion :

– Entretenez la conversation même quand les contenus sont négatifs, cela construit votre présence en ligne
– Chaque conversation est une opportunité de changer ce que l’on dit sur votre offre et donc de transformer l’ensemble des conversations en un moyen puissant d’évangélisation.

Vous avez certainement dû suivre la performance d’Usain Bolt aux derniers Jeux olympiques.

100 mètres, une ligne droite et les technologies les plus avancées pour mesurer, disséquer, authentifier et couronner les exploits du champion.

Maintenant, imaginons que Bolt n’ait pas eu une ligne droite à parcourir, mais une piste sinueuse et inconnue.
Imaginons toujours que cette piste n’ait pas été de 100m mais d’une distance indéfinie.
Essayons d’imaginer qu’à n’importe quel moment, le nombre de participants ait pu se multiplier.
Et pour finir, imaginez que ce soit vous qui ayez à mesurer les performances des participants de cette course et en faire une synthèse.

Comment procéderiez-vous ?

C’est la question à laquelle doivent répondre les annonceurs et leurs partenaires quand ils souhaitent mesurer les effets d’une opération de social média.
Ils peuvent être convaincu de l’efficacité de l’action, constater une hausse des ventes : quantifier sur Internet reste un art difficile.

A ce propos, Jean-baptiste Plantin a récemment posté un billet traitant d’une étude de la society for new communications research sur les nouveaux influenceurs.
Le document décrit dans un premier temps les aspirations et la vision d’utilisateurs avisés du social média; dans un second temps, une compilation d’études de cas est proposée au lecteur.

L’étude met en lumière la difficulté de définir des critères probants de mesure. La mise en  place de nouveaux moyens de qualification et de suivi des actions se fait au détriment des réflexes – pourtant naissant – de mesure Web et notamment le page ranking dans les moteurs de recherche.

Je crois qu’il est urgent de souscrire à des actions comme celles menées par la womma et définir rapidement de nouveaux indices de mesures sur ce sujet. De mon point de vue, continuer à utiliser le médium Web comme un outil de mass market va à l’encontre de tout ce qui rend ce canal si passionnant.

En attendant, prenez part à la course, votre prochaine action Web marketing pourrait fort bien décrocher un titre et une visibilité inattendue.
Et surtout, quand vous aurez franchi la ligne du succès, venez partager vos enseignements avec nous.

Une incompréhension persiste sur la nature et le fonctionnement des espaces contributifs et participatifs en ligne.
A ce titre, la réaction de Jean-Claude Dassier lors de son interview dans Le Point est révélatrice.
Cet article a été porté à ma connaissance par les blogs de Mry et Grégory Pouy.

L’échange concerne la prestation de Laurence Ferrari à son nouveau poste de présentatrice du 20h. Prenant la défense de la journaliste, JCD s’insurge du traitement fait par les blogs de l’événement et récrimine des prises de position arbitraires : « […] comme je l’ai lu à droite ou à gauche chez ces messieurs les blogueurs qui s’enivrent de leur nouveau petit pouvoir, est d’une mauvaise foi sans nom. »

Suite à quoi, il donne sa vision de ce que devrait être le rôle de ces nouveaux relais de l’information :

« […] Que les blogueurs reviennent aux fondamentaux du journalisme plutôt que de nous donner des leçons en permanence et de donner la parole à ceux qui ne savent que critiquer. L’interactivité ? Oui, pour permettre au lecteur de poser des questions et de témoigner. Mais pas pour déverser cette bile atroce.»

Au-delà de la forme, il me semble intéressant de noter la mauvaise compréhension du statut de contributeur Web.
Ben McConnell et Jackie Huba définissent – dans Citizen Marketer – les participants à la grande conversation Internet à travers 4 principaux profils :

– Les filtres : collecteurs d’informations, ils relayent des contenus existants et les mettent à disposition de leurs auditoires.
– Les fanatiques : ce sont de véritables évangélistes d’une offre, d’un produit ou encore d’un artiste. Leurs contributions sont généralement passionnelles.
– Les facilitateurs : Ils aident les communautés et les individuels à se connecter. Pour cela, le contenu, les événements sont des moyens de favoriser ces regroupements.
– Les « firecrackers » (pétards ? allumeurs de mèches ?) : Ils sont les créateurs d’un contenu remarquable repris par le réseau.

Ces typologies sont les plus représentées sur le Web. Elles répondent à des motivations souvent bien différentes de celles des journalistes professionnels. Il en va de même pour les objectifs.

Les commentaires de Jean-Claude Dassier stigmatisent le fossé entre les médias traditionnels et les nouveaux espaces d’expression Web. Il va falloir encore un peu de temps pour le résorber.

Si vous doutiez de l’intérêt stratégique d’être en tête du classement des réseaux sociaux; ne vous posez plus la question, c’est la guerre des chiffres.

Dans un précédent article, je parlais de la place de Facebook par rapport à Myspace selon ComScore. Skyrock était premier site de réseau social en France devant Facebook et MySpace.

Quelle surprise, aujourd’hui, de voir les résultats – très différents – d’une étude e-marketer sur le blog de Scott Monty. Selon lui, Facebook prend la première place devant Copains d’avant et MySpace.

On se souviendra qu’en juin, le Journal du net avait publié ses propres résultats d’études. Le réseau Skyrock était alors en tête devant Copains d’avant et Windows Live Space.

Que pensez des résultats de ces études ?  :

– Il s’agit de trois acteurs sérieux du secteur (JDN, e-marketer, ComScore)
– Les critères de sélection manquent de clarté
– Les conclusions se contredisent

Quand on connaît l’importance d’être premier sur son segment et notamment sur le canal Web, on imagine aisément les efforts que doivent déployer ces différents fournisseurs de service pour se démarquer.

Je ne serais pas surpris que les résultats du prochain tiercé du social network provoquent surprise, défiance et interrogation parmi les observateurs.

Dans la période d’incertitude économique actuelle, il y a fort à parier que les investissements publicitaire et marketing se recentrent sur des actions très ciblées, traçables et dont la mécanique est éprouvée. Partant de cette réflexion, on pourrait penser qu’il est raisonnable de détourner son attention (du moins temporairement) des nouveaux moyens de promotions, de conquête et de fidélisation qu’Internet met à disposition des annonceurs.

Je milite pour un point de vue différent qui consiste à croire que les opportunités seront plus fortes sur les mécaniques alternatives. En clair, si l’affiliation, le search et les liens sponsorisés devraient remplir une partie de leurs fonctions en 2009, il serait démesuré de se détourner des possibilités offertes par le social média et par exemple les outils spécifiques de type Twitter.

Il y a quelques jours, Dell a communiqué sur les résultats engendrés par ses interventions sur Twitter. Résultat ? 1M$ de revenu sur les 12 derniers mois !

Un extrait du communiqué relayé sur le blog VentureBeat :

« Less altruistically, some businesses have discovered that Twitter is an effective way of communicating with consumers. Dell says Twitter has produced $1 million in revenue over the past year and a half through sale alerts. People who sign up to follow Dell on Twitter receive messages when discounted products are available the company’s Home Outlet Store. They can click over to purchase the product or forward the information to others. »

Croyez-le ou non, une saturation (et c’est mécanique) adviendra certainement dans les années à venir pour les actions de SEM, notamment par l’augmentation du ticket d’entrée sur les mots clés les plus stratégiques. Si vous suivez les tendances US sur les actions à la performance, vous savez déjà que l’essoufflement des résultats n’est pondéré que par la capacité des ouvriers des nouveaux médias à valoriser et à transformer leurs offres. Je ne parle évidemment pas des actions Display, ce serait indécent de tirer sur une ambulance en flamme.
Le contexte étant posé, rien de surprenant à voir dans les informations communiquées par Dell les prémisses de moyens efficaces et mesurables de générer du revenu autour d’une offre.

Il y aurait beaucoup à dire sur la politique de Twitter et sur son business model, ce n’est pas le propos de ce blog mais il est amusant pour l’esprit d’observer la portée d’un outil dont l’ADN et la promesse repose sur une chaîne de mots réduite à 140 caractères.

Un beau billet plein d’enthousiasme découvert sur le blog de John Bell cette semaine. John occupe des fonctions importantes chez Ogilvy mais ça ne lui interdit pas un certain lyrisme quand il parle de l’avenir de sa profession.

Dans cet article, il décrit une révolution à venir dans le monde des agences. Révolution essentiellement motivée par le contexte économique défavorable, mais également par l’émergence des nouveaux moyens de promotion et d’évangélisation.

L’avenir des agences traditionnelles et des autres acteurs du secteur (agences média, agences RP, agences spécialisées) est bien difficile à anticiper. Si des tendances se dégagent : selon John, les agences RP s’en sortiront bien et les agences média ont du souci à se faire ; il est un peu tôt pour jouer les Cassandre. Nous verrons.

Toujours est-il que John, dans le but de participer à cette révolution, encourage des pratiques qui me semblent simples, mais singulièrement séduisantes.

Ces propositions sont construites autour des axes suivants :

– Implication des populations
– Innovation permanente
– Période de test recevable

Fort de son expérience de membre du board de la Womma, John nous incite à l’échange et à la mise en pratique. Si les discussions occasionnées par les conférences et les meetings peuvent être constructives, rien ne vaut la réalité du terrain.

Alors, pourquoi ne pas tenter de mettre en place des laboratoires de marques dans des lieux de passage ? 5 clients et un ticket d’entrée à 200K€ et voilà le concept de John prêt à être déployé. Nous suivrons la mise en place ou non de son « Open Lab » (oui je confirme, John, le nom doit être retravaillé).

Un certain nombre de places à Paris avait déjà épousé un modèle analogue (lointain cousinage dans l’idée en tout cas) sans forcément réussi à survivre.

Les exemples remontés dans l’article comme ce salon de coiffure « tendance » impliquant des marques me laisse un peu sur ma faim : c’est une très belle façon de se différencier et de faire des RP mais de là à valider un modèle ou le concept de John, il y a un monde.

De manière générale, je suis convaincu par le fait que les grands acteurs du commerce et les entrepreneurs de taille plus modeste devraient se fédérer pour créer leurs propres espaces de test, non pas en catimini et dans des conditions d’études, mais à travers la mise en place de conditions réelles. Comment anticiper les besoins et les motivations d’inconnus ? Quelle valeur apporter à des études dont les schémas et les modèles sont souvent très éloignés des parcours clients usuels .

Sur le Web, les opportunités sont grandes autour de ces problématiques.

À la place de John et avant d’ouvrir un laboratoire en dur – je tenterais l’expérience « virtuelle ». Je m’interroge d’ailleurs sur les coûts d’une telle action pour un e-commerçant et surtout sur les retours attendus.

Deux actions de communications qui m’ont interpellées ce matin : Le dernier site web Biotherm et le spot de lancement Windows 7.

Deux mécaniques un peu différentes mais qui reposent sur le même principe : Faire parler le consommateur.

Pour ce qui concerne Biotherm, nous avons rendez vous avec Adam, un acteur excellent qui joue avec beaucoup de naturel le bon copain consumériste et tendance. En quatre vidéos fullscreen, il décortique les objections faites à l’utilisation du produit (un hydratant visage pour homme) et communique peu sur les bénéfices de son utilisation – ce qui peut surprendre.

Le site est simple, à interface unique et donne une image moderne et décomplexé du produit et de la marque. Ca fonctionne bien. Le discours est ciselé et particulièrement bien porté (l’exercice est assez difficile pour souligner avec insistance la performance). Une bonne leçon de construction d’un discours argumentatif et d’influence en ligne.

Impact et connivence sont donc au rendez vous pour ce testimonial malin.

A contrario la publicité de lancement de Windows 7 laisse sans voix. Un jeune cadre dynamique – sorte de copain éloigné de collège – à l’accent populaire surjoué nous expose son vif intérêt pour la dernière mouture du système d’exploitation de Microsoft. C’est catastrophique.

On n’identifie absolument pas le bénéfice produit (on peut voir des vidéos sur sa TV apparemment) ni ou veut en venir notre interlocuteur. La maison Versaillaise semble morte et on est surpris d’entendre un enfant invectiver le speaker (avec une molesse et un désabusement artificiel au possible).

On comprend bien que l’on cherche à créer de la proximité entre le géant de Richmond et son consommateur mais c’est simplement raté, dommage.

Connaissez vous le site Starbucks Shared Planet ? Espace d’expression de la marque enseigne autour de son programme « Commerce ethique », il présente les points principaux de ses actions.

Le contenu du site Internet étant plutôt réduit, on fait vite le tour de l’argumentaire et autant le dire immédiatement : c’est assez lamentable.

Je vais mettre de coté la forme pour m’intéresser au fond.

Quelle est la nature de ce programme ?

– Une culture responsable.

Qu’est ce que cela veut dire concrètement ? Starbucks sélectionne ses fournisseurs de café en tenant compte de leurs engagements environnementaux. Sur quels critères ? on se le demande. Soyons rassuré, depuis 1992 Starbucks développe continuellement ses pratiques pour répondre aux besoins de la santé de notre planète… (comme on peut le lire sur le site). A quoi cela correspond dans la pratique ? aucune idée.

Notre lecture nous conduit à un point plus concret : Starbucks déconseille l’utilisation de pesticides dans la culture du café par ses fournisseurs. A première vue, cela semble plutôt innovant, excellente idée…

Ok, admettons que la technicité ou la complexité des méthodes ne permettent pas à Starbucks d’expliquer la réalité de son engagement et de ses encouragements auprès des fermiers sud américains. Passons ainsi au point suivant.

– Le commerce éthique

Je dois avouer que la lecture du texte présentant cette partie m’a laissée pantois.

On apprend que Starbucks considère le commerce éthique moins comme « commerce » (c’est vrai que le mot est toujours un peu sale et mal connoté, autant restreindre la portée des signes qui lui sont associés) que comme un investissement pour les fermiers et leurs communautés. Une vraie leçon pour tous les entrepreneurs en herbe dans la restauration commerciale ! ne pensez pas commerce mais investissement pour vos fournisseurs.

Le meilleur reste à venir néanmoins. On peut lire un peu plus loin : « C’est pourquoi nous travaillons pour aider ces fermiers a gagner les prix plus hauts que leur café de haute qualité mérite » Au delà du français approximatif (les aléas de la traduction) on comprend l’idée de fond : Starbucks travaille pour aider ses fournisseurs a lui vendre sa matière première plus cher ! C’est effectivement révolutionnaire. J’imagine que dans l’industrie alimentaire, ils doivent être assez seuls à exercer ce genre de pratiques.

Dernier point abordé : Starbucks investit dans ces fermes en facilitant l’accès aux prêts. La marque a déjà prêté 10 millions de $ à des cultivateurs. je m’interroge : est ce que prêter de l’argent à ses fournisseurs pour les aider à se développer peut bien être considéré comme le point central d’un programme de commerce éthique ? Si oui, la plupart des places financières internationales viennent de découvrir qu’elles étaient en fait les plus gros contributeurs aux efforts éthiques et éco-citoyens actuels. Évidemment, lorsque une banque prête de l’argent à une structure dont l’ambition est de contribuer à l’amélioration des conditions de travail dans le monde par exemple, elle s’associe – de fait – à son action. Le raccourci n’est pas plus choquant que le discours de Starbucks.

Je passe sur le dernier pan du site qui énonce « Servi avec fierté » pour préciser que la marque n’a pas a rougir de ses actions. Nous sommes ravis pour elle.

Pourquoi Starbucks se fout de nous ?

Simplement par ce que la marque va trop loin dans la dissension entre la réalité de son métier et de ses ambitions et la présentation de son programme.

Il est clair que nous sommes en présence d’une action destinée à favoriser la perception de la marque chez le consommateur final, l’influence de cette perception est critique pour un réseau international de plusieurs milliers de point de vente. Le contenu fait appel principalement à des arguments dits ‘d’autorité’ (nous l’avons fait, nous en sommes fiers) . Il est possible d’abuser de ce type d’arguments lorsqu’on est en parfaite harmonie avec son auditoire (que l’on partage les mêmes valeurs, une vision et des expériences communes avec lui) – ce qui est certainement le cas pour Starbucks. D’un autre coté, occulter totalement la vocation commerciale de l’enseigne et s’investir d’une mission éthique quand on connait les tensions qui peuvent exister entre des industriels fournisseurs et le distributeur, c’est risible.

Il est primordial de travailler sur le développement du capital marque pour tout entreprise a vocation commerciale, c’est un fait. Le faire en simplifiant ainsi le message et donc l’action, c’est s’exposer à des retours d’opinion.
Pour l’instant la communication péremptoire de Starbucks (nous faisons le meilleur café du monde) a indéniablement servi son développement, attention à ce qu’un excès de confiance ne saborde pas tout le travail réalisé.

Le lancement d’une start-up fournit son lot d’interrogations notamment en ce qui concerne le poste « Marketing » et les investissements qui y sont associés.

Clairement identifié comme centre de coût par les créateurs, tous les moyens de réduire ce poste où de le transformer en source de profit à court terme sont les bienvenus.
Conséquence directe, les actions de Social Media en ligne peuvent apparaître comme des outils particulièrement séduisants.

Scott Monty a proposé récemment une réponse sur son blog qui m’a semblé intéressante.
Je le rejoins sur un certain nombre de points :

1/ Les actions de Social Media n’ont pas pour objectif de créer du trafic, mais de développer des relations.
C’est particulièrement vrai pour une offre BtC et encore fois cela implique que les critères de mesure de la performance ont besoin d’être réinventé ! Monter une campagne d’affichage en ligne comme on produit une campagne off line est simplement inefficace, donc contre performant.
La vocation du social média c’est de renouer avec l’idée d’échanger avec sa population cible.
Sur un plan stratégique, lors de la création de votre entreprise, vous allez devoir mettre en place des tactiques « Quick Win » mais vous ne pouvez pas faire l’impasse sur des actions destinées à construire une relation durable avec vos clients.

2/ Nous sommes dans un monde gouverné par la notion d’échange transactionnel.
Alors bien sûr on peut le regretter et rêver d’une meilleure façon d’interagir avec ses semblables, mais au quotidien qui peut espérer recevoir sans avoir donné ?
C’est applicable aux actions de Social Media. Soyez généreux, participatifs, volontaires et vous recevrez les fruits de votre investissement.

Je veux ajouter deux points à cela :

– Intégrez dès aujourd’hui des actions de pré-test et de post-test !
Le Web offre tellement de possibilités d’interagir, de questionner, de recueillir des informations, des points de vue, des contributions… Profitez-en et développez une culture de l’itération, c’est essentiel.

– Devenez philanthrope, c’est tellement plus sympa.
Commencer une entreprise, c’est certainement rechercher une forme d’indépendance sur le plan personnel mais ça n’exclut pas de vouloir contribuer à la réussite, à l’accomplissement de ses semblables. Les actions de Social Media sont une formidable opportunité de travailler à aider son prochain, c’est une idée – si elle est farfelue – qui me plaît assez…

Après avoir lu tout cela, vous vous demandez certainement comment commencer ? Quelle méthode pour quels résultats ?
Chris Brogan est là pour vous aider avec un article très simple et très concret sur le sujet « If I started today »

Si vous souhaitez vous épargner la lecture de l’article ou que vous ne comprenez pas la langue de Shakespeare, voici un résumé express :
1. Un espace de contribution en ligne (blog par exemple)
2. Des outils de diffusion (comme le relais de vos contributions sur Facebook, Twitter, Linkedin…)
3. Créer des interactions avec son audience
4. Expérimenter de nouveaux moyens en permanence et garde le meilleur

Quelques vidéos (en anglais) autour de notre sujet :

Social Media et Tech Entrepreneur (Alan Wolk)

C’est finalement très simple ! Les crackers Goldfish sont les inséparables compagnons des petits écoliers US et viennent complémenter leurs lunch box. Les acheteurs de ces crackers sont ainsi – nécessairement – des parents qui s’interrogent sur le bien être et l’évolution de leurs bambins.

L’industriel semble avoir considéré ces faits comme une opportunité de créer du lien et travailler la présence à l’esprit de la marque auprès de ses acheteurs. Il a ainsi produit un site de conseil très complet, agrémenté d’une caution médicale en la personne d’une psychothérapeute spécialisée dans les problèmes de l’enfance. Le ton n’est pas technique, ni froid pour autant : il s’agit bien pour la marque de rester dans une posture valorisant la consommation du produit. Il aurait effectivement été assez maladroit d’associer ces crackers à un discours culpabilisant ou moralisateur.

La colonne vertébrale du programme est donc le positive thinking et les règles (simples ou simplistes, c’est selon) à suivre pour faire grandir intelligemment les futurs acheteurs de Goldfish.

Sur le plan intellectuel c’est assez détestable de mon point de vue (encore faut il porter un regard légèrement désabusé et cynique sur l’opération), je ne crois pas avoir besoin de développer.

Sur le plan marketing, il est difficile de juger en l’absence de résultats concrets mais c’est certainement efficace, bien pensé et très porteur pour l’industriel. Je vois en ce type d’action le moyen de renforcer son lien affectif avec sa cible (je joue sur la durée de consommation, sur la récurrence d’achat et sur l’évangélisation autour du produit) tout en renforçant sa brand equity. Quant à l’investissement initial, il semble très raisonnable – l’idée n’a pas du couter grand chose et elle est déclinable sur tout le marketing-mix sans occasionner de frais supplémentaires.

Pour ce qui est de l’outil Internet, on peut considérer que la composante pédagogique a été bien travaillée, l’information est bien hiérarchisée et la place du produit ne cannibalise pas le message : du bon travail de nos amis de Grey donc.

En conclusion : un site efficace et une idée plutôt intelligente même si un peu loin de la promesse initiale du produit. Je suis néanmoins assez dubitatif sur la conversation que peut générer ces sites « relationnels ». On sent encore tout le poids des habitudes « Top-Down » dans l’industrie alimentaire.